lundi 23 mai 2016

Le féminisme et l’obligation d’exister

Ce n’est pas parce que les femmes sont mes égales qu’elles doivent avoir les mêmes droits que moi, ce n’est pas une question d’égalité physique ou intellectuelle.

Elles doivent avoir ces droits parce que je suis un être rationaliste, et donc empathique, que je reconnais que les êtres vivants, malgré et à cause de leur obligation d’exister, doivent jouir du monde dans le bienêtre, jouir de leur sensibilité et de leur intelligence, quelle que soit leur valeur, et me laisser en faire autant.

Pourquoi et comment les femmes occupent-elles une position subordonnée dans la société ? La subordination du plus faible se produit dans tout l’univers animal. La « complémentarité naturelle » des sexes pour la reproduction est une vision animale du monde vivant.

L’être humain possède un petit plus intellectuel qui lui permet de contrôler ses actions, et même ses instincts les plus profonds, que ce soit la femme ou l’homme. La société le reconnait par la notion de responsabilité de chacun et chacune de façon égale devant la Loi.

Ce qui implique que ce plus que nous possédons sur les animaux dont nous sommes issus et qui nous permet de contrôler cette animalité est suffisant pour dire que femmes et hommes sont égaux dans tous les domaines du droit, ce droit que nous avons inventé et qui est donc hors animalité.

Si nous avons recours au droit que ce soit pour un homme ou une femme, alors nous sommes égaux hors animalité, hors notre morphologie et notre anatomie, donc hors nos sexes. Personnellement je suis un « sapiens analensis », et non un simple « sapiens sapiens », comment donc votre Loi va-t-elle me traiter ?

Le cerveau humain généralise, et il peut ainsi classer hommes et femmes dans deux groupes séparés, rendant la cible féminine ou masculine plus facile à désigner, et nous en avons rajouté en accentuant la légère différence morphologique par les vêtements.

La domination masculine s’est probablement mise en place selon le même principe de domination d’une main sur une autre, la droite sur la gauche, la différence est faible ou nulle à la base, mais une simple prise d’habitude rend l’autre main moins experte donc de moins en moins utilisée et de moins en moins experte.

Les femmes ont été dominées progressivement partout dans le monde selon le même principe. La relative faiblesse du corps féminin pendant la grossesse un « court » laps de temps suffit à engendrer le décalage et les coutumes de masculinisme qui se sont installées progressivement.

Aujourd’hui ce n’est plus nécessaire, d’autant que ce sont de plus en plus des femmes qui s’occupent des femmes (et des hommes) sans que les hommes aient à intervenir, et cela dans tous les domaines. Les femmes sont compétentes en tout dans nos sociétés, même en tant que soldat.

Et en tant que politicienne peut-être faut-il rappeler la super-compétence de la Reine-impératrice Victoria d’Angleterre.

Les humains sont tellement préoccupés de leurs luttes de classes, de genres, d’idéologies, de croyances, qu’ils en oublient l’essentiel, qui est l’impossibilité du libre arbitre et l’obligation d’exister. À quoi sert, Madame, de fabriquer une existence pour cette existence que vous fabriquez, avant qu’elle existe bien sûr ? Ça ne lui sert à rien, mais à vous, quelle utilité ?

Si cela a une utilité pour vous, c’est donc un serviteur que vous fabriquez, un esclave ou un bébécament pour votre psychopathologie dans ce monde effrayant et nocif ! La vie est un cercle vicieux absurde et morbide que notre compréhension peut rompre.

On ne peut pas baser des règles de Droits humains sur des principes naturels puisque la Nature ne s’intéresse absolument pas au sort des vivants. La Nature n’a pas de Loi, la Nature n’a aucune morale aucune éthique. Elle n’a que des mécanismes.

La Nature fait dans la « pérennité de réplication approximative » par ses mécanismes, et nous humains existons selon ce principe de pérennité, mais provisoirement, car l’humain se maintiendra comme pseudo-espèce très provisoirement.

Le machisme et le féminisme sont des idéologies résultantes de comportements anciens, provenant d’une très lointaine évolution animale. La suppression de ces idéologies est de la responsabilité de tous. Contrôler notre animalité, pour sortir de toutes nos idéologies, sera du ressort de chacun.

L’état de la culture actuelle doit s’analyser à partir de l’évolution des « espèces » dans le même processus de continuité culturelle qui s’est engagée dès que les systèmes nerveux des animaux dont nous sommes issus ont été suffisants pour servir à autre chose que de s’occuper uniquement de la survie de l’animal.

Cette mémoire supplémentaire permet d’enregistrer le comportement des compagnons, la perpétuation des améliorations se faisant uniquement par la continuité des existences des générations successives.

Et en ce qui nous concerne, nous humains, cette mémoire nous permet de stocker une foultitude de données sur le monde et de réaliser une quantité d’actions qui n’ont plus grand-chose à voir avec la simple survie, quoique cela soit nécessairement lié à cette survie, d’où le machisme de la culture humaine partout sur la planète.

Il semble que nous soyons, grâce à la prise de conscience féministe à un tournant de la civilisation humaine.

Pour que le féminisme s’installe, il faut que des femmes (quelques-unes) aient la sensation d’appartenir à une communauté de femmes, donc différentes et opposées à une communauté d’hommes,

et la sensation que cette communauté de femmes soit brimée ou infériorisée par celle des hommes, mais aussi une troisième sensation qui est que les deux communautés appartiennent à un même ensemble, l’humanité.

La loi qui responsabilise les femmes de la même façon que les hommes en ce qui concerne délits et crimes, et qui hiérarchise les responsabilités selon l’âge et les circonstances, reconnait ce principe.

Il reste à la Justice de reconnaitre l’impossibilité du libre arbitre et d’admettre que nous sommes, tous les êtres vivants, contraints d’exister, et que cette contrainte d’existence va même jusqu’à nous imposer des handicaps de naissance qui doivent être dédommagés quand ils ne peuvent être réparés.

Il y a trois types de machismes principaux, le machisme intellectuel, le machisme économique et le machisme politique. Les trois types de machisme existent encore sur la planète, mais les plus difficiles à démonter sont le machisme économique et le politique.

Il est aisé de comprendre pourquoi les capacités intellectuelles des femmes sont acceptées puisque cela sert la société directement, alors que tout prétexte est évidemment bon pour n’importe quel patron de ne pas payer les personnes selon leur capacité,

quant au machisme politique, il s’agit uniquement d’un sexisme stupide et rétrograde qui a encore moins de raison d’être qu’ailleurs puisque pour le bien du pays toutes les intelligences doivent être utilisées selon leur compétence, le politicien honnête devrait le comprendre et l’accepter.

Le machisme est issu de la domination animale des mâles sur les femelles, avec l’assentiment de ces dernières qui avaient besoin de protection dans une nature dangereuse quand elles étaient enceintes (probablement tous les ans).

Il était avantageux alors de laisser croire aux mâles qu’ils étaient les propriétaires responsables de la progéniture (d’où le terme de semence) alors qu’en toute apparence le travail était exécuté par les femmes. Le machisme est une rationalisation de ce comportement animal.

Le machisme n’a plus lieu d’être aujourd’hui d’autant plus que si les femmes doivent être protégées ce n’est plus de la Nature, mais des hommes, ces mâles imbus d’eux-mêmes par la culture (de mâle) dont les femmes sont pourtant elles-mêmes les grandes dispensatrices.

Car vous-mêmes mesdames trimbalaient dans votre cerveau une culture masculinisée depuis des milliers d’années ! À vous de faire le tri si vous en voyait une nécessité, car le mélange des cultures humaines de nations et de genres va s’opérer qu’on le veuille ou non par la mondialisation.

Les hommes, du moins les plus instruits, ont compris qu’ils n’étaient pas les véritables semeurs de vie, mais peut-être tiennent-ils à conserver un peu de pouvoir !

Le mariage est culturellement un acte religieux où l’homme prend possession d’une femme devant la société. Le mariage civil qui ne devrait être qu’un contrat entre deux personnes, égales devant les Droits de l’homme et la Loi, contient de façon sous-jacente cet héritage culturel.

Quand deux personnes veulent établir un contrat, elles le font ordinairement devant notaire, mais pas devant le maire. Le mariage est encore considéré de manière particulière, car il est nécessaire de traiter les autres personnes que sont les enfants (à venir ou présent) comme des objets qui n’ont aucun mot à dire dans la fabrication de leur existence,

quel que soit le résultat de cette fabrication, quels que soient les qualités ou défauts des parents eux-mêmes qui se considèrent narcissiquement, quels que soient le milieu et le lieu où va vivre cette progéniture, quelles que soient la société et la culture.

Les enfants ne sont pas des personnes légales. Ils n’ont droit à aucun contrat particulier individuel, pourtant ils sont, chacun, des personnes introduites sous contraintes dans une société qu’ils n’ont pas désirée.

Le mariage civil est un contrat de gros entre deux adultes. Il n’est pas individuel, puisque les enfants ne sont pas nommés dans ce contrat (et n’ont pas signé ni ne signeront jamais), et de ce fait il n’est pas juste, il est hors-la-loi et surtout hors les Droits de l’homme.

Chaque femme et chaque homme sont des êtres sensibles conscients et intelligents, chacun décide de la vie que d’autres lui ont imposée. Cette phrase parait sensée et conforme à ce que réclame le féminisme, et je suis parfaitement en accord avec elle, et si je la propose en examen à une femme, je suppose qu’elle sera d’accord.

Mais dans ce cas comment voit-elle le fait d’imposer l’existence à quelque chose qui deviendra une personne comme elle, et une fois sur deux à une autre femme, qui subira les conséquences de sa féminité dans un monde malsain pour tous et encore plus pour elle ?

Pouvez-vous vous plaindre d’être femme, si vous vous permettez de fabriquer un enfant qui a le risque de naitre femme alors que vous n’appréciez pas ce monde sexiste ? Pourquoi ne pas débarrasser le monde du sexisme avant d’y installer une personne.

La manière d’avorter des hommes est simple, c’est de ne pas reconnaitre l’enfant. Et puisque les hommes avortent, les femmes doivent avoir ce même droit qui n’est pas simplement un accouchement sous X, mais un véritable avortement. Et réciproquement si les femmes peuvent avorter les hommes doivent le pouvoir également.

L’acceptation sociale de l’avortement, c’est la reconnaissance de l’erreur sexuelle. Les humains ont le droit de se tromper même quand ils font un acte qui ressemble à de la procréation, mais qui n’en est pas un.

Le droit à l’avortement reconnait qu’une femme et un homme peuvent ne pas vouloir procréer tout en pratiquant l’acte sexuel, et qu’un oubli de protection ne contraint pas l’un et/ou l’autre à faire un enfant. L’homme comme la femme peut avorter.

En quoi l’avortement des femmes regarde-t-il les hommes, les bonnes sœurs, les femmes ménopausées, et toutes ces personnes qui n’accoucheront jamais ? Les hommes n’ont pas à légiférer sur l’avortement des femmes, ils peuvent éventuellement légiférer sur l’avortement des hommes.

Si les hommes se mêlent de gérer l’avortement ou pas des femmes cela signifie qu’il s’agit d’une question sociale, et que le corps des femmes ne leur appartient pas, et dans ce cas pourquoi celui des hommes leur appartiendrait-il ?

Les femmes ouvrent leurs jambes et accueillent un homme (à la fois) si elles le désirent, elles ont recours à la banque de sperme si elles le désirent, et avortent si elles le désirent. Elles sont donc totalement responsables elles et uniquement elles de la fabrication des existences, et de mon existence en particulier.

Les femmes sont maitresses de leur corps, donc de tout ce qui le pénètre, qui n’est pas du viol, et tout ce qui en sort, éventuellement un bébé, appelé aussi autre personne. En ce sens elles accordent à l’homme un rôle très secondaire, d’où la peur des mâles et un éventuel renouveau du machisme religieux.

Elles prennent ainsi à leur charge toutes les responsabilités de l’existence de l’humanité, et bien entendu tous les méfaits humains sur la planète, surpopulation, guerre perpétuelle de l’humanité contre elle-même, misère, famine, pollution, etc.

Il faut en priorité penser aux handicapés de naissance que vous mesdames fabriquez (avec la complicité des mâles) qui jusqu’à présent en prenaient l’entière responsabilité, maintenant cette responsabilité vous revient totalement. Faire un bébé est un crime.

Les hommes vont avoir beau jeu d’attaquer légalement les femmes quand elles auront pris la responsabilité totale de leur corps, de leur personne, devant la Loi, puisque chaque homme a été contraint d’exister par une femme responsable de cet acte de dictature absolue.

Les banques de sperme annulent la paternité génétique, puisque le géniteur peut être anonyme, seule la paternité de contrat est donc valable.

Les femmes ne veulent pas être violées, mais elles contraignent les personnes à exister, et à exister dans des conditions très risquées, sans que ça leur pose le moindre problème…

Aujourd’hui (comme demain), plus de 800 femmes sont condamnées à mourir pour avoir fabriqué une existence par simple incompétence.

Plus de 300 000 femmes meurent chaque année en mettant un enfant au monde. Si c’est gagner le Paradis qui vous intéresse, alors jouez Madame, il y a beaucoup plus de probabilité de gagner à ce jeu morbide de la Vie qu’au loto.

Pour éviter les problèmes de garde d’enfants après divorce, le couple devrait signer un contrat avant mariage à propos de cette garde éventuelle. C’est-à-dire qu’ils devraient savoir avant de se marier pourquoi ils vont concevoir un enfant.

Pendant des millénaires, les femmes ont sélectionné les hommes pour leur virilité et éduqué leurs garçons pour qu’ils soient agressifs afin de les envoyer combattre pour leur défense. Aujourd’hui, elles les culpabilisent d’être agressif envers l’autre femme, qui est parfois elle.

Une femme vit 8 à 10 ans de plus qu’un homme en moyenne, mais ça ne parait pas une raison suffisante aux mâles humains pour tenter de changer de sexe.

Si les femmes avaient la moindre intelligence, elles demanderaient beaucoup d’argent à la société pour mettre un enfant au monde. Je vous assure que si l’enfant valait cher à la société, l’éducation serait parfaite et il n’y aurait jamais besoin de prison pour corriger les fautes d’éducation, car il n’y en aurait pas.

Et les associés que nous sommes tous seraient cajolés tout au long de leur vie par les gouvernants. Est-ce que ce n’est pas votre devoir, pour le bien de votre futur enfant de passer un contrat avec la société : « Si tu veux mon enfant, si tu veux un associé, je veux que tu garantisses sa vie, son bienêtre. »

Et si la société refuse, proposez-le à une autre société, vous en trouverez bien une qui acceptera. Faites un syndicat de femmes pour défendre vos droits et surtout ceux de vos futurs enfants. C’est votre devoir de donner la meilleure vie possible à votre enfant…

Aujourd’hui un homme pour se reproduire doit demander l’autorisation à une femme. Alors que les femmes peuvent recourir à la science pour le faire sans homme.

Une société est composée d’associés. Pourquoi certains membres, les femmes, ont-ils le droit d’introduire de nouveaux associés dans la société alors que les autres n’ont pas ce droit ?

Les femmes se cachent derrière l’autoritarisme masculin, mais pour qu’il y ait une autorité il faut qu’il y ait une soumission acceptée. Les femmes (comme les hommes) ont le pouvoir de prendre un fusil quand elles se font violer.

Si elles ne prennent pas les armes, c’est qu’elles admettent leur condition d’infériorité. On peut toujours se battre jusqu’à la mort, et la mort des femmes, c’est la mort des hommes.

C’est marrant que la notion d’égalité soit uniquement examinée du point de vue de la réussite sociale. Les femmes ont la toute-puissance créatrice de l’espèce. Ce sont elles les décisionnaires en ce qui concerne la fabrication d’humains. Et la planète est surpeuplée !

Tous les criminels ont une maman. Tous les idiots ont une maman. Tous les handicapés ont une maman. Tous les dictateurs ont une maman, et même Hitler a eu une maman. Naitre en bonne santé et sain d’esprit est normal, mais tous ces autres, qui les a mis au monde sans prendre leur défense ?

Qui ne s’est pas impliqué ? Qui a laissé faire ? Pas de vie, pas de risque. Pourquoi concevoir le mâle qui va vous frapper ? Pourquoi mettre au monde une femelle qui va se faire frapper ? Pourquoi mettre au monde celui qui va vous dominer, celle qui va être dominée ?

Les femmes veulent tous les pouvoirs. Celui de création, elles n’ont même pas été capables de le gérer sainement. La surpopulation est la cause de tous les problèmes humains. Qu’elles gèrent d’abord le problème de l’esclavagisme de l’enfant avant de penser à elle.

Mettre un enfant au monde, alors qu’elles ne sont pas bien dans ce monde, c’est stupide, voire ignoble. La Terre est le berceau de l’humanité. Qu’attendent-elles pour nettoyer le berceau avant de pouponner ?

Le cerveau des hommes et des femmes n’est pas identique. Les cerveaux des hommes ne sont pas identiques entre eux, et les cerveaux des femmes ne sont pas identiques entre eux non plus.

La manière dont sont stockées les informations et les significations n’est pas identique, et surtout elle n’a pas de relation avec la manière dont la structure donne l’information ou la signification. Ce qui veut dire que les différences de structure entre humains et entre sexes a peu d’influence sur le contenu, et surtout aucun sur le sens du contenu.

Par exemple, l’objet pomme, son nom, et sa signification sont tous les trois stockés avec le même type de mémoire, qui sont très certainement des réseaux neuronaux, réseaux neuronaux qui n’ont pas la même structure dans aucun cerveau que ce soit pour les hommes et pour les femmes.

Les croyants sont parfaitement bloqués, ce qui démontre que la perfection est de ce monde. D’un côté, ils veulent nous faire croire que le libre arbitre existe et donc que tout le monde est responsable de ses actes, et de l’autre ils veulent nous faire croire que le genre est supérieur au libre arbitre, et donc que celui-ci ne peut transcender le genre, ce qui annule donc le libre arbitre.

La vraie question est de savoir si les capacités mentales peuvent transcender le genre, et si la société peut mettre dans le même sac égalitaire les hommes et les femmes, sont-ils égaux en volonté et en prise de décision, en capacité mémorielle, etc., et donc leur accorder mêmes droits et devoirs dans tous les domaines.

Après nous avoir fait croire qu’âme et libre arbitre existent, les croyants veulent nous faire gober qu’âme et libre arbitre ne transcendent pas le genre féminin ou masculin, et qu’il y aurait donc un esprit et un libre arbitre spécifique pour chaque genre, ce qui conduirait à ne pas gérer les personnes par les mêmes lois, et donc ne pas leur donner les mêmes droits…

Si l’on ne compte que les enfermements en prison suite à un crime les hommes sont majoritaires (plus de 96%) à près de 9 millions dans le monde.

Mais les femmes prisonnières de leurs hommes et par les lois islamistes patriarcales sont bien plus nombreuses, elles se comptent par centaines de millions dans le monde sans avoir commis d’autre crime que celui d’avoir été obligé d’exister avec le sexe féminin par maman, une femme violée patriarcalement.

L’abolition du masculinisme et du féminisme doit passer par la reconnaissance suivante : avant d’être une femme ou un homme, avant même d’être un humain ou un transhumain, je suis un être sensible, conscient, intelligent, je veux être considéré ainsi en première approche, après c’est selon mon bon vouloir, et ce n’est à personne d’autre de décider pour moi de ce que je suis intimement.

L’obligation d’exister éventuellement handicapé, doit faire oublier toutes les idéologies au profit de l’empathie que les êtres sensibles que nous sommes devrions avoir envers ces personnes qui sont nées plus faibles et pour servir, alors qu’il n’était absolument pas nécessaire de les contraindre à exister et encore moins handicapées.

Tous les humains individuellement et la société humaine doivent se poser la question de la validité d’imposer l’existence, et comment ils comptent dédommager la personne handicapée ou plus faible que les autres intellectuellement ou physiquement?

Le « reproductivisme » est une idéologie encore plus infecte que le machisme ou le féminisme. Unissons-nous pour combattre le « reproductivisme ».

Il est normal qu’une femme décide elle-même si elle veut engendrer un enfant ou pas. Elle prend des risques mortels et morbides à mettre au monde.

Mais dans ce cas puisque la question de risques est évoquée pour la personne mise en cause, pourquoi ce choix d’exister n’est-il même pas envisagé pour l’être dont on crée l’existence sans aucune maitrise de ce qu’il va être et devenir ? C’est bien lui qui court le plus de risques, n’est-ce pas ?

S’il n’y avait qu’une seule question, que toutes celles, qui désirent fabriquer une nouvelle existence, devaient se poser, elle devrait être celle-ci :
« Maintenant que j’ai fabriqué un être souffrant, comment défaire la souffrance ? »

Faim
E. Berlherm (Mai 2016)


(Pour ceux qui préfèrerait écouter ma douce voix ou parce que Maman/Papa volontairement et Dame Nature involontairement leur ont imposé une vue déficiente vous pouvez écouter ce texte sur YouTube, ici https://youtu.be/Aw1rXhQAkyg)


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire