Définition de
pollution : modification du milieu rendant plus difficile la
vie, individuelle ou globale, ou la détruisant.
La pollution peut être
absolue en concernant toutes les espèces indifféremment, donc la
Vie en général, ou relative en ne concernant qu’un individu,
qu’un groupe, ou qu’une espèce, ou encore un nombre plus ou
moins restreint d’espèces animales ou végétales.
Une Terre avec trop
d’humains est une pollution pour la Vie. Une trop grande quantité
d’une espèce crée un déséquilibre néfaste à la Vie.
La première pollution,
pour la Vie en général et pour l’humanité, est l’humanité
elle-même.
Elle a toujours existé,
cette pollution, sous la forme de « surpopulation locale »
dont le principe est la suroccupation du territoire occupé.
Mais actuellement elle
s’est répandue sur la totalité de la planète et elle est causée
par une surpopulation générale humaine de misère, de souffrance,
de détresse, qui ne se compte pas en pourcentage, mais en nombre de
malheureux.
La surpopulation n’est
pas (pour l’instant) due au nombre de personnes qui peuvent être
éventuellement nourries par le sol qu’elles occupent, mais par le
fait que des personnes sont rajoutées sur ce sol avant que les
problèmes déjà existants ne soient résolus.
Ceci est une définition
empathique de la surpopulation, ou l’humain que je suis désire
pour autrui une vie aussi « douce » (façon de parler)
que la sienne, ce qui n’est évidemment pas le cas du milliardaire
qui ne peut avoir cette vision impossible du monde qu’il crée
lui-même et dont il est un négrier, et dont nous acceptons le
principe par désir ou rêve de l’imiter.
Le berceau Terre a été
salopé par l’humanité, par sa propre existence. Mais consciente
du problème, elle ne le nettoie toujours pas, avant d’y installer
ses propres rejetons, qui n’ont pas plus demandé à exister que
les existants eux-mêmes.
Ceci est directement de
la responsabilité des gouvernants du monde qui ont une vision
suffisamment large du problème pour le résoudre en moins de 50 ans.
Le temps de la ménopause des femmes, Nulles ou moins.
Actuellement, nous savons
tous sans exception que le monde n’est qu’une petite sphère. Le
problème connu de tous est donc celui de tous.
Et vous mesdames, Nulles
ou moins Nulles, vous êtes les premières concernées, car vous êtes
maitresses de la vie humaine, donc très directement, immédiatement,
et tout à fait irrémédiablement responsables de l’état de
notre planète, et de notre façon d’y vivre.
Pourquoi obliger
quelqu’un à exister dans un monde pollué ?
Madame, vous ne maitrisez
même pas la fabrication d’une existence qui s’effectue à
l’aveugle dans votre utérus, et votre enfant peut être lui-même
pollué avant de sortir de votre ventre, handicapé plus ou moins
gravement. Car son handicap est une pollution pour lui-même et le
sera également pour vous si vous songez à être une bonne mère.
Mais aussi, pourquoi
fabriquer cet enfant, cette nouvelle personne ? Le faites-vous
pour dépolluer le monde à votre place ?
Comment oser penser que
l’on peut imposer à une personne, en tentant de la fabriquer tout
spécialement pour cet office, de nettoyer les saloperies qu’on a
faites, nous et nos parents ? Nous sommes déjà pollueurs par
nos existences trop nombreuses.
La nature fonctionne à
son allure très mémère, nous avons, nous, besoin d’aller
beaucoup plus vite. Mais plus nous allons vite pour résoudre nos
malheurs plus nous favorisons la multiplication des humains
pollueurs. Il ne sert à rien de dépolluer si nous accroissons le
nombre de pollueurs, même plus petitement, dans un monde qui n’est
pas infini.
Tout ce qui favorise la
vie humaine a toujours servi à multiplier le nombre d’humains, ce
qui augmente le problème de pollution et les nombreux autres par
ailleurs, et multiplie le malheur. On ne peut donc améliorer la
qualité de vie sans penser à la gestion de la population.
Faire un enfant pollue,
faire deux enfants pollue deux fois plus. Et pouvez-vous prétendre,
affirmer honnêtement, qu’ils ne naitront pas handicapés, les
pauvres bougres ?
Si vous mettez votre
enfant dans une poubelle, il ne faut pas vous plaindre, il est normal
que vous viviez dans cette poubelle vous aussi. Inutile de
manifester. Inutile de réclamer. Inutile de tempêter, il fallait le
faire avant d’imposer au pauvre gamin d’exister.
Vous pouviez le faire
avant et réclamer à vos parents et à la société complice votre
dû, c’est-à-dire une santé parfaite, une vie gratuite, riche
d’expériences et longue, une planète saine. Maintenant, c’est
trop tard en ce qui vous concerne. Osez donc le révéler à vos
enfants, après vous être excusés de leur avoir imposé d’exister
dans ces conditions !
Le saviez-vous ?
Sous chaque mètre carré de goudron, il y a un mètre cube de vie
souterraine qui a été détruite. Car la plus grande quantité de
vie sur la planète se situe en fait dans ce mètre de Terre ‘sous’
la surface, et non ‘sur’ la surface. La France par sa densité de
routes, la plus élevée de tous les pays, est la plus grande
destructrice de vie au monde.
La Terre est notre ile,
nous n’en sortirons jamais. Ne la salopons pas ! Mieux,
embellissons-la. Ce sera notre seul paradis.
S’il n’y avait qu’une
seule question, que toutes celles, qui désirent fabriquer une
nouvelle existence, devaient se poser, elle devrait être celle-ci :
« Maintenant que
j’ai fabriqué un être souffrant, comment défaire la
souffrance ? »
Faim
E. Berlherm (Nov. 2015)
(Pour
ceux qui préfèrerait écouter ma douce voix ou parce que Maman/Papa
volontairement et Dame Nature involontairement leur ont imposé une
vue déficiente vous pouvez écouter ce texte sur YouTube, ici
https://youtu.be/7OAGvbhcMmc)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire